Paroles de confirmées

Messe inter-paroissiale du 8 juillet 2018

« Comme les gens de Nazareth, avant la Confirmation, je connaissais un peu la vie de Jésus ; mais c’est vrai, j’avais des doutes. Grâce au parcours Confirmation, je suis passée de la connaissance à la reconnaissance. Maintenant, je sais qu’Il est là, au milieu de nous.
La seule issue, c’est de reconnaître ses faiblesses devant le Seigneur. Il faut savoir se remettre en question pour avancer. Le jour de la célébration de Confirmation, je me suis entièrement abandonnée au Seigneur et tout ce que j’ai vécu était merveilleux et profond. »
Sylvia

« Pour moi, la Confirmation m’a fait prendre conscience de la dimension de l’Eglise comme Corps du Christ. Avant, j’étais dans la sympathie ou l’antipathie. Avec ce parcours, l’Eglise a pris du relief : ce n’est plus qu’une institution, c’est une vraie famille. J’ai toujours cru que j’avais un seul frère et puis maintenant, je suis contente, non ravie ! Je sais que j’ai des dizaines de frères, des dizaines de sœurs en Eglise. Jésus, tu m’étonnes ! »
Hélène

« La confirmation à 50 piges, quelle idée !…
Ça fait quoi au juste ?
Ça confirme une force pour surmonter les épreuves au Nom de Jésus.
Ça confirme l’audace pour parler de Jésus.
Ça confirme un rôle de témoin avec force et audace qui choisit d’assumer cette place dans l’Eglise.
Ça confirme notre envie de remettre Dieu au cœur de nos vies, pour que toute la fraternité en Jésus ne reste pas un vain mot mais une belle réalité à vivre et à partager. »
Marie-France

« Durant mon parcours vers la Confirmation, j’ai pris conscience que j’ai une mission prophétique à la suite de Jésus : Prêtre, Prophète et Roi.
C’est difficile de parler du Christ à des gens qui sont hermétiques mais je me dis que ce n’est pas grave, je sais qu’ils l’entendent quand même.
Parfois, on nous colle une « étiquette » mais maintenant je n’ai plus peur de la porter.
Ce parcours a fait changer mon regard sur l’Autre. Je le regarde désormais avec plus d’Amour et moins dans le jugement ou d’a priori.  Je peux me laisser étonner par les autres ! »
Myriam